Deux ans sous le ciel

Le 29 août 2016 est la date où j’ai entamé mon projet de publier hebdomadairement sur ce blogue.
Le 29 août 2018 est la date où celui-ci se termine.

Depuis deux ans, Sous le ciel détient la priorité de mon écriture quotidienne. 104 articles : j’ai réussi mon défi de poster un article tous les mercredis, et ce, sans un seul retard ou oubli. J’ai dû mettre de côté plusieurs projets littéraires pour y arriver. Désormais, il est temps de détrôner ce blogue et de léguer la couronne à la composition de mon premier roman.

Je ne regrette en aucun cas ce sacrifice. Ce blogue m’a permis de développer la plus solide des disciplines : celle qui ne dépend pas d’une école ou d’un supérieur. Chaque semaine, j’ai créé un article alors que rien ne me l’imposait. J’ai passé des heures à écrire des textes que peu de gens liraient. Et si j’avais à tout recommencer, je ne le ferais pas autrement.

Merci à tous ceux qui visitent Sous le cielJe n’abandonne pas ce blogue. J’adore écrire des articles et je continuerai à le faire. Cependant, mes publications n’obéiront plus à un horaire déterminé à l’avance, et par conséquent, ne seront plus aussi fréquentes.

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Un an sous le ciel

Le 29 août 2016, j’ai décidé que j’allais publier à toutes les semaines sur ce blog : peu importe les circonstances, chaque mercredi devait désormais être accompagné d’un nouvel article. Je savais que ça n’allait pas être une tâche facile à long terme. Je suis une grande victime de la page blanche, et au fond de moi, j’ai toujours cru qu’elle finirait éventuellement par me rattraper. Mais malgré toutes les soirées où j’ai dû me fracasser le crâne pour en sortir une idée, je n’ai jamais encore perdu face à elle.

Je célèbre aujourd’hui la première année de sousleciel.ca.

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Les origines de « Sous le ciel »

L’envie de créer un blog me suit depuis plusieurs années. J’ai tenté l’expérience de nombreuses fois avant celui-ci, mais à tous les coups, le moment d’officialiser mon projet venait sans que je ne réussisse à trouver le courage de dévoiler mes textes à un regard autre que le mien. Heureusement, j’ai éventuellement commencé à combattre ma honte d’écrire, et avec une aide incroyable de mon père — merci à lui — j’ai finalement pu avoir une plateforme sur laquelle j’étais confortable de m’exprimer.

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